Marie participe au séminaire de son entreprise. Au programme de la journée, conférences, présentation des résultats, tables rondes. C’est l’occasion pour toute la société de se retrouver et d’échanger. Mais Marie aime particulièrement ces journées car il y règne toujours une ambiance de fête et les collègues en profitent pour flirter. Plusieurs hommes tournent autour de Marie, elle est très belle et sa tenue décontractée la met en valeur. Un jean moulant qui ne cache rien de ses magnifiques fesses. Et un chemisier coloré qu’elle porte sans soutien-gorge. Elle attire les regards. Mais c’est bien ce collègue en particulier qui intéresse Marie. Echange de regards pendant la journée. Frôlements. Ils savent tous les deux l’envie de l’autre. La tension est palpable.
Pendant la journée malheureusement, pas de possibilité d’avoir un moment d’intimité. Ils s’envoient des messages. Marie en reçoit quelques-uns qui l’excitent au point de quasiment la faire bugger. Il lui dit qu’il a envie de l’embrasser, la toucher, la lécher, la prendre. Ca l’excite beaucoup.
Marie est très proche d’une collègue qu’elle ne voit pas très souvent, mais avec qui elle s’entend vraiment très bien. Elle s’appelle Ophélie, elle est plus grande qu’elle, mais aussi très jolie, les deux femmes aiment attirer l’attention. Marie aime se dire que leurs autres collègues fantasment sur elles deux, voire sur le fait qu’elles aient une aventure toutes les deux. Ca plairait bien à Marie, mais elle ne sait pas si Ophélie serait partante. En tout cas elle passe une excellente journée en bonne compagnie. La soirée entre collègue qui est prévue s’annonce intéressante, et excitante.
Tous les salariés se retrouvent dans un bar Parisien. L’ambiance est bonne, tout le monde s’amuse. Des animations sont prévues, et l’alcool aidant, la soirée devient un peu folle. On se met à danser et à chanter. Les esprits s’échauffent.
Marie passe beaucoup de temps avec Ophélie mais ne perd pas de vue son collègue qui lui tourne autour. Pendant la soirée, il s’est assis à côté d’elle et en a profité pour lui caresser un peu les fesses discrètement. Personne ne doit les voir. Elle de son côté ne s’est pas gênée pour frotter ses seins contre lui lors d’une discussion. Le son étant tellement fort, qu’elle a dû beaucoup s’approcher de lui pour lui parler.
Ophélie a trop bu. Elle a l’alcool joyeux et commence à dire des bétises. Marie se demande si finalement elle n’est pas un peu attirée par elle quand même. Les perspectives sont intéressantes. Les deux filles passent aux toilettes pour se refaire une beauté, elles discutent et s’amusent toutes les deux. Au détour d’un bon mot qui les fait rire, Marie ne peut pas s’empêcher d’embrasser Ophélie. Surprise au début, elle lui rend son baiser et leurs langues s’enlacent. Après le baiser, elles se regardent toutes les deux et éclatent de rire. Ca n’ira pas plus loin cette fois, mais c’était très excitant.
Marie retourne dans le bar et va raconter tout ça à son collègue, pour l’allumer un peu. Ça lui fait beaucoup d’effet. Il est jaloux et aurait bien aimé recevoir un baiser lui aussi. Voir un peu plus qu’un baiser. Il dit tout ça à l’oreille de Marie à qui cela fait beaucoup d’effet. Elle est déjà pas mal excitée et a elle aussi envie de plus. Elle propose alors à son collègue de la retrouver dans les toilettes. C’est pour le moment ce qu’ils peuvent faire de mieux. Heureusement que la soirée est bien avancée, les deux amants arrivent à se faufiler discrètement sans être vus. Ils sont tous les deux un peu éméchés, et Marie vient embrasser son collègue avec fougue. Le collègue lui attrape les fesses et lui dit qu’elles n’ont pas arrêté de le narguer toute la soirée. Marie vient lui caresser le sexe par-dessus son pantalon, il est très dur et ça l’excite beaucoup. Elle a très envie de le sucer, et prend les devants. Elle déboutonne son pantalon et se met à genoux. Elle baisse son caleçon pour dégager son sexe qui se dresse tout de suite devant elle. Sa verge est magnifique et Marie vient tout de suite le prendre en entier dans sa bouche. Elle le suce avec une grande expertise et son collègue lui demande de ralentir sinon il va jouir tout de suite … Marie sent l’excitation de son collègue en le suçant et perçoit qu’il est proche de l’orgasme. Elle ralentie un peu le rythme. Elle vient lécher son sexe de la base au gland. Son collègue est rasé entièrement, et Marie apprécie beaucoup, elle en profite pleinement. Ensuite elle le prend de nouveau dans sa bouche et sent l’orgasme de son collègue arriver. Elle enfonce alors son sexe tout au fond de sa gorge et c’en est trop pour lui, il jouit très fort au fond de la gorge de Marie. Elle avale tout avec plaisir.
Le collègue propose à Marie de le retrouver dans un hôtel non loin de la fête, un peu plus tard. Il avait tout prévu. Marie attend le moment avec impatience. La fête bat son plein et finira très tard. Ophélie, visiblement désinhibée par l’alcool flirte beaucoup avec plusieurs collègues, hommes et femmes. Marie garde cette information en tête pour une autre fois, elle y voit une possibilité très intéressante. Mais l’heure de retrouver son collègue arrive. Tout le monde se sépare et les deux amants se retrouvent à l’hôtel.
Pour ne pas éveiller les soupçons, les deux amants sont partis chacun de leur côté et Marie arrive donc un peu après dans la chambre d’hôtel. Son collègue est déjà là. La lumière est très basse et Marie entre discrètement dans la chambre luxueuse. Sans lui laisser le temps de déposer ses affaires, son collègue s’approche et vient l’enlacer et l’embrasser. Leur désir à tous les deux est palpable.
Marie, toujours un peu affectée par l’alcool se laisse aller. Son collègue est très entreprenant. Ses mains sont partout, sur ses fesses, sur ses seins. Ils n’ont pas l’occasion d’en profiter comme ça très souvent, et même si ils veulent tous les deux prendre leur temps, le désir est très fort. Marie, les yeux fermés, toujours en train d’embrasser son collègue, sent qu’il la déshabille petit à petit. Il dégage ses seins, et sa bouche vient les embrasser. Il lèche ses tétons, les mordille. Ses mains continuent son exploration et viennent se glisser dans le jean de Marie. Il vient d’abord lui caresser les fesses. Il retourne ensuite Marie pour se mettre derrière elle et pouvoir plus facilement glisser sa main vers son sexe. Marie est trempée, et il commence à la caresser doucement.
Ca électrise Marie, qui reprend un peu ses esprits. Elle le veut en elle, elle n’y tient plus. C’est elle qui emmène son collègue vers le lit, et lui demande de s’allonger. Elle déboutonne son pantalon et le déshabille. Elle lui enlève son pantalon, déboutonne sa chemise, et finit par lui enlever son caleçon et libérer son sexe déjà dur. Elle se déshabille également, sensuellement, en permettant à son collègue d’en profiter un maximum. Elle enlève tout et vient se positionner sur lui, à califourchon au niveau de son sexe. D’un mouvement de bassin, elle vient frotter son sexe sur le sien. Elle est tellement mouillée qu’elle vient lubrifier son sexe. Et d’un geste de bassin, elle se positionne pour que son sexe la pénètre. Lui la regarde, et apprécie la situation. Il adore la regarder en général, mais encore plus dans cette situation. Marie prend du plaisir. Son bassin va et vient doucement, son sexe à lui la pénètre profondément. En même temps, son clitoris vient frotter contre le corps de son amant. Elle s’oublie complètement, ses mouvements de bassin s’accélèrent et vont de plus en plus vite. Elle vient s’appuyer sur le torse de son partenaire pour pouvoir encore décupler les sensations de son sexe en elle. Et elle jouit, fort. Un long râle sort de sa gorge, et tout son corps tremble de plaisir.
Lui n’en a pas raté une miette. Ses mains sont venus parcourir son corps, profitant de ses formes généreuses. Mais il n’a pas encore jouit et reste très excité après avoir vu Marie jouir sur lui. Sans lui laisser de répit, il la fait rouler sous lui et se positionne pour pouvoir la pénétrer. Toujours un peu secouée par son orgasme, elle écarte les jambes et vient le guider en elle. Lui vient l’enlacer avec ses bras pour pouvoir contrôler son corps et commence à la pénétrer profondément et rapidement. Marie est secouée par la puissance de ses à-coups, il la pénètre avec des va et viens brutaux, mais délicieux. Marie se laisse encore une fois aller, profitant de la sensation, et à chaque pénétration elle lache un petit gémissement. Elle n’est pas tout à fait redescendue de son orgasme précédent et en sent un nouveau arriver. Son collègue finit par jouir en elle dans une dernière accélération qui secoue Marie et qui l’amène elle aussi à un nouvel orgasme.
Les deux amants vont passer la nuit ensemble. Entre sexe et discussions, baisers et calins. Marie pense à Ophélie et s’en ouvre à son collègue. Il lui dit qu’elle devrait tenter le coup avec elle, et pourquoi pas qu’ils prennent du plaisir à trois. Cette perspective semble plaire à Marie qui ne l’oubliera pas. Vivement le prochain séminaire.