Mes bêtises avec Antoine deviennent de plus en plus audacieuses. Nous nous sommes caressés plusieurs fois sous nos plaids devant la télé, mais nous avons envie de toujours plus.
Nous essayons d’en profiter dès qu’on en a l’occasion. Une fellation dans la salle de jeux, un cunnilingus dans la salle de bains. Mais nous n’allons pas plus loin, de peur de nous faire prendre. Ce n’est pas l’envie qui manque, mais nous prenons déjà beaucoup de risques avec nos bêtises. Le danger c’est surtout la sœur d’Antoine, Victoire, dont on ne sait jamais trop si elle est là ou pas. Elle sort souvent et ses horaires de facs sont très aléatoires apparemment. Nous avons frôlé la catastrophe à plusieurs reprises avec elle.
Victoire et moi ne sommes pas très proches. Elle a toujours gardé ses distances avec moi depuis que je suis arrivée. On a passé de bons moments en famille mais on passe rarement du temps seules elle et moi. Je l’aime pourtant bien, elle est belle et intelligente et nous avons quasiment le même âge. Je me dis qu’il faudrait que je fasse des efforts et essayer de me rapprocher d’elle. On pourrait être très copine elle et moi.
Je décide donc de lui proposer de sorties et des activités qu’elle accepte timidement au début. Mais petit à petit nous nous rapprochons. On discute de tout. Elle me pose souvent des questions sur mon copain que j’ai laissé dans le sud et me demande s’il ne me manque pas trop. J’ai un peu de mal à répondre sachant que je fricote avec son frère et que j’ai un peu mis mon copain de côté pour le moment. Mais je garde la face et donne le change. Je lui demande si elle a un copain et elle me répond que non, un peu évasivement. On finit donc pas beaucoup se rapprocher et de mieux connaître l’intimité l’une de l’autre. On fait des trucs de filles, on s’échange des fringues et allons faire du shopping ensemble. Elle rayonne souvent dans ces moments.
Un soir de printemps, Antoine et moi nous cachons dans le jardin pour échanger des baisers et des caresses. Le moment est très hot, et me laisse dans un état second. Ne voulant pas éveiller les soupçons, nous nous séparons rapidement. Je décide de retourner dans ma chambre pour me caresser et finir ce qu’Antoine a commencé.
Je monte donc à l’étage et passe devant la chambre de Victoire, qui m’intercepte en passant. Elle semble un peu perturbée et semble vouloir me parler, mais je n’ai qu’une envie, c’est de me donner du plaisir. Mon sexe est en feu.
Victoire m’entraîne dans sa chambre et ferme la porte derrière elle. Elle se retourne et sans prévenir, viens m’embrasser fougueusement. Elle me chuchote : j’en avais envie depuis si longtemps. Elle s’écarte de moi et me regarde avec inquiétude. Elle ne sait pas du tout comment je vais réagir. Et moi-même, je ne le sais pas. Je n’ai jamais eu de relation avec une fille, et je ne m’étais jamais vraiment posé la question. Je bug un petit moment, mais mon état d’excitation prend vite le dessus. Je la regarde dans les yeux et à mon tour viens l’embrasser fougueusement. Mon excitation déborde. Je saisis la main de Victoire et vient m’en servir pour me caresser, tout en l’embrassant. Victoire n’hésite pas et prend le relai rapidement, elle me caresse le sexe. Elle vient rapidement glisser sa main dans le sweatpant moulant que je porte. Elle trouve mon sexe trempé et ça semble lui plaire énormément. En quelques secondes, de sa main experte, elle me fait jouir. Je jouis en me collant à elle et en étouffant un gémissement. Nous nous embrassons…
« C’était très bon », lui dis-je.
Elle ne répond pas, mais me sourit. Elle a l’air très heureuse et viens m’embrasser de nouveau. Elle est très excitée visiblement. Mais nous devons malheureusement nous séparer rapidement, car nous entendons du bruit provenant du rez-de-chaussée se rapprocher.
Je file dans ma chambre en laissant Victoire dans un sacré état. Elle m’envoie un petit message qui m’électrise : je me caresse en pensant à toi…
Les jours suivants, Victoire semble être mal à l’aise. Je comprends qu’elle est en fait très peu sure d’elle et accepte probablement mal sa sexualité. Je suis moi-même assez confuse. Je n’avais jamais été attirée par les femmes, mais ce moment d’intimité avec Victoire me fait douter. Je me rend compte que je suis très curieuse en fait, j’ai envie d’en savoir plus. D’en avoir plus.
Je décide donc de sauter le pas. Un soir, je me faufile dans la salle de bain pendant que Victoire prend sa douche. Je ferme derrière moi. Elle ne m’entend pas approcher et je ne veux pas l’effrayer. Je m’annonce : « Victoire, tu es là ? »
Elle sort sa tête du rideau de douche et me regarde, elle est surprise, mais je vois bien un petit sourire sur son visage. Sans parler plus, je me déshabille. Victoire n’en perd pas une miette. Et je la rejoins dans la douche. Sous le jet chaud tombant de la douche nous nous embrassons. Nos corps nus se collent et je sens sa peau douce contre la mienne. Elle est vraiment très belle. Ses seins son pleins, son ventre plat, elle a des jambes interminables. Le contact de son corps me plaît immédiatement et l’excitation monte très vite, d’autant que les petits jeux que je fais avec Antoine me laissent sur ma faim.
Je prends le lead et commence à l’embrasser de partout, en descendant. Tout d’abord son cou, ensuite le haut de ses seins. Je la sens vibrer sous mes baisers. Je viens ensuite faire de petits bisous autour de ses tétons. Victoire se laisse faire, elle est électrisée par chaque baiser. Sa respiration est très forte. Je suis sur que son sexe est trempé, alors je décide de vérifier avec ma main, toujours en embrassant ses seins. Et effectivement, son sexe déborde. Le contact de ma main avec son sexe l’a fait se plier en deux. Je pense qu’elle est déjà proche de l’orgasme. Alors je viens la pénétrer de mes doigts. Et effectivement, ce simple geste suffit à la faire jouir … c’est délicieux.
Je viens l’embrasser et lui chuchote : « tu vas devoir me rendre la pareil ce soir … je t’attendrais dans ma chambre ». Je sors de la douche, me rhabille et disparaît de la salle de bains.